Section IN GAME ~R3F~ > Missions du serveur public ~R3F~

Suivi des opérations sur OPEX (serveur public R3F)

<< < (11/491) > >>

Leto:
Troisième mission ACV proposée par M. Willipod :

OPERATION : "UN SCUD TROP LOIN"
Objectif :
L’ennemi, privé de ses forces mobiles lors de la destruction de ses dépôts d’essence (voir mission « EMPIRE D’ESSENCE »), tente l’opération de la dernière chance en décidant l’envoi d’un missile SCUD sur le QG Allié. L’heure est grave, cette tentative désespérée peut être lourde de conséquences : plus que les nombreuses pertes humaines probables, c’est aussi l’opinion publique qui pourrait se retourner et forcer les gouvernements de la coalition à se retirer au plus vite du bourbier Takistanais.
Le haut-commandement croit savoir qu’un PC de lancement se trouve sur la ville de Shukukurkalay. L’envoi d’un commando doit être immédiate.

Participants :
Fred (300)
Iko (300)
Tisman (300)
Florian (Medic)
Krock (600)
Leto (300)
Et Willipod


Déroulement :
A peine remis de la mission précédente qui a été plus qu’éprouvante, nous recevons l’ordre de nous rendre de toute urgence sur Shukukurkalay. Mais les rangs sont clairsemés par les nombreuses pertes que nous avons subit et c’est un groupe restreint qui prend la route de la LZ.
A peine sorti de l’hélicoptère, l’équipe 600, réduite à un seule homme, se dirige vers son point d’observation S1 pendant que le 300 descend le talweg qui doit nous mener vers la ville, point 02.
Même le meilleur des plans peut connaître des accrocs et nous en rencontrons un premier de taille : le point S1 est déjà occupé et la réception du 600 est loin d’être amicale, le 300 fonce alors à sa rescousse.
La mauvaise surprise éliminée, le 600 en position, le 300 reprend sa marche vers le point 02. Nous tombons alors face à un groupe d’infanterie en patrouille, sûrement attiré par le précédent accrochage, au point 01. L’effet de surprise joue en notre faveur et nous infligeons une sévère correction à ces maraudeurs.
Le 300 continue sa descente vers le point 02. Ayant pris appui sur une maison , nous tentons une percée vers le point 03, le temps jouant contre nous. L’ennemi, sachant qu’il tient ici sa dernière carte maîtresse , nous barre le passage par d’incessants tirs et l’envoi de nombreuses troupes. Il semble même prendre l’avantage et c’est avec l’énergie du désespoir que le 300 se fraie un passage sous un déluge de feu vers le point 04 où nous avons repéré le PC de lancement. Dans cet enfer d’explosions et d’impacts de balles, nous parvenons à détruire la cible.
L’ennemi se retire et prend position au sud-ouest, points 07 et 08, plus que jamais déterminés à protéger le lanceur de missiles qui pointe déjà vers sa cible.
La progression vers les points 05 et 06 est ponctuée d’accrochages éparses avec quelques retardataires qui cherchent à rejoindre le gros de leurs troupes. Mais la couverture assurée par le 600 qui progresse en parallèle (points S2 puis S3) permet au 300 de continuer son avance jusqu’au point 06.
Le 600 nous informe qu’il y a de nombreux mouvements ennemis sur Chaman. Le village grouille littéralement d’hommes en arme. Il semble que notre adversaire n’est pas hésité à réquisitionner la population locale et à la lancer contre nous. Notre entrée dans Chaman, point 07, est l’objet de la plus grande résistance. Même peu expérimentés au maniement des armes, les villageois, poussés par la peur de représailles de leur propre camp, se montrent farouches et, malgré notre puissance de feu conséquente, c’est avec la plus grande difficulté que nous traversons Chaman jusqu’au point 08.
A la sortie du village, nous sommes stoppés net par la présence d’un char et d’un nid de mitrailleuse au point 09 et d’innombrables unités embusquées dans les champs en fleur aux alentours.
Mais il n’est pas question de reculer. Un missile MAAWS ayant ôté toute capacité de nuisance au char, le 300 fonce sous le tir nourri des mitrailleuses vers le point 09 où nous avons repéré le lanceur SCUD. Eliminant les troupes hostiles qui semblent surgir de partout, nous parvenons enfin à la cible où nous procédons à sa destruction ainsi qu’une unité anti-aérienne postée au point 10.
Le 600 ayant rejoint le 300, nous sommes extraits pour un retour vers notre base sauvée de la destruction. Mais cette opération nous aura coûté chère en vie humaine et nos pensées vont à nos camarades tombés au combat, héros anonymes pour le plus grand nombre, inoubliables frères d’armes à nos âmes.

Débriefing :
Les + :
Encore une fois, l’ACV, brillamment piloté par Willipod, nous à proposé un challenge incroyable et un immense plaisir de jeu.
Le scénario de la mission
La participation active et amicale de chacun qui a prolongé l’immersion dans la partie
Les - :
Il doit y en avoir mais j’avoue les avoir oubliés tant j’y ai pris du plaisir….

Chepadbol:
Bravo pour tes débriefings Leto !
Le 28 Mars j’ai participé à trois missions ACV. Deux faites par Emmanuel et une de Willipod. Une autre hier faite par Willipod.
Un grand merci à eux deux ainsi qu’aux gens avec qui j’ai joué !
Si je dois donner mon avis, je dirais qu’avec ce type de missions le serveur public y gagne. Ou plutôt nous, les joueurs, y gagnons énormément ! C’est l’occasion de participé à des parties inédites et dynamiques. On y apprend beaucoup sur la façon de tenir convenablement son poste. Dans mon cas en tout cas ! Ces missions son comme un avant gout de ce qu’apportent et de ce qui compose les missions R3F. Du sérieux, de l’organisation, du travail d’équipe, du plaisir.
Sachant que ces missions viennent en plus des villes et des sides… Que demande le peuple ?
Personnellement, je n’ai pas fini de campé sur le publique !

panda:
+ 100000000000000000 'padbol!!!!!!!!!!!!!  ;D ;D

j.bournnne:
GG les gars c'est bien!!! ;)

Leto:
Une mission proposée par M. Willipod :

OPERATION : TAKISTAN GRAFFITI
Objectif :
L’ennemi, tel le Cyclope, pointe son oeil sur nous ! Tous nos mouvements aéroportés sont suivis avec un trop grand intérêt pour notre haut-commandement : la tour radar de Ravanay doit disparaître.

Participants :
300 :
Iko
Panda
Nick
Toma
Leto
600 :
Colopoco
Repstyle
Picouse
Chepadbol
Pimousse


Déroulement :
A peine sorti de l’hélicoptère au point LZ, le groupe se sépare et le 300 file vers le sud afin d’entreprendre une remontée furtive sous l’œil vigilant du 600. La progression se fait d’un pas alerte : les hommes sont pressés d’en découdre.
Et l’occasion leur en est donnée très vite : les 300 repère une patrouille au point 01. Préférant ne pas prendre de risques inutiles alors que le chemin jusqu’à Ravanay est encore long, le 300 adopte une approche moins frontale et se déploie afin de tendre une embuscade. Mais, alors que la patrouille commençait à tourner le dos au 300, celle-ci, alertée par les tirs d’un accrochage avec le 600 au nord, fait demi-tour et se précipite vers les détonations. Le 300 n’a plus le choix, il doit l’éliminer. Positionnés idéalement, les hommes du 300 ouvrent le feu. L’ennemi n’a aucune chance et se retrouve vite à terre.
Le 600 sorti d’affaire, le 300 remonte la vallée vers le point 02. Consciente d’être attendue par des forces adverses sur le pied de guerre, l’équipe du 300 aborde la dernière partie sur le flanc Est espérant  jouir d’une relative furtivité à l’abri des arbres. Effectivement toute relative car c’est un déluge de balles qui s’abat sur le 300 et les troncs, dont l’écorce éclate sous les multiples impacts, n’offrent qu’un piètre abri aux hommes qui ne peuvent que prier que le 600 viennent à leur rescousse.
Prière exaucée : le 600 lance un assaut depuis le flanc Ouest et repousse les troupes ennemies. Malheureusement et malgré la preste intervention des hommes du 600, c’est un 300 décimé qui les accueille.
Les blessés remis sur pieds, le 300, encore groggy, se remet en selle tant bien que mal et se lance vers le point 03 afin de prendre place sur les hauteurs de Ravanay à l’abri des premières maisons. Alors que le 600 lance les hostilités par un barrage de feu sur le village, le 300 consolide sa position et traite les unités les plus proches. C’est dans cette scène de guerre urbaine apocalyptique que surgissent de toute part des civils dont les maisons n’assurent plus d’abri suffisant. Bien mal leur en a pris car certains sont victimes des nombreuses explosions de grenades qui retentissent à travers les rues.
Point de répit cependant, le commandement nous informe qu’une colonne de blindés et de nombreuses infanteries plongent vers Ravanay depuis Zavarak. Les hommes du 300 bondissent des maisons qui leur servaient de fortifications et, alors que le 600 plonge sur la ville sur le point 03, slaloment à travers les balles jusqu’au point 04 où ils détruisent la tour radar, privant ainsi de vue l’adversaire. Afin de parfaire cette action salutaire pour les forces alliées, ils n’hésitent pas, dans un ultime acte de bravoure, à raser le bunker PC qui se trouve au point 05.
La colonne blindée, en pénétrant par le nord de Ravanay dans un vacarme assourdissant, ne laisse pas de place aux congratulations pourtant méritées, le groupe doit fuir sans plus attendre au risque de subir les foudres dévastatrices des canons ennemis. Le 300 se regroupe au point 06 et file, séance tenante, vers le point 07. De là, ils bifurquent vers le point 08. Mais les troupes hostiles ont été plus promptes et leur fondent dessus. Le 300, encore sous le coup de la fatigue endurée lors de son départ de Ravanay en toute précipitation, ne peut que serrer les dents derrière une bande de rochers qui lui sert d’abri précaire. A peine leurs souffles repris, les hommes du 300 doivent, à leurs tours, partir au secours du 600 qui n’a pu se défaire de trop nombreux adversaires à ses trousses au point 09. C’est avec toute l’énergie du désespoir que le groupe se dégage de l’emprise adverse.
L’extraction sur la LZ achève cette périlleuse mission et l’hélicoptère emporte avec lui des hommes bien différents de ceux qu’il avait déposé peu avant au même endroit : ce sont maintenant des « chiens de guerre » qui occupent ses entrailles.

Navigation

[0] Index des messages

[#] Page suivante

[*] Page précédente

Utiliser la version classique