Section IN GAME ~R3F~ > Missions du serveur public ~R3F~

Suivi des opérations sur OPEX (serveur public R3F)

<< < (12/491) > >>

panda:
Leto!! Bravo! ;D.  ;D ;D ;D ;D

Leto:
Une mission ACV proposée par M. Willipod :

Opération : Pôle Nur Express

Objectif :

Nos troupes ont lancé ce qui doit être l’assaut final. Rasman et sa base aérienne, derniers bastions de résistance Takistanaise, doivent tomber. Mais la ville assiégée ne capitule pas malgré l’importance du dispositif allié mis en place.
De nombreux blindés tiennent encore leurs positions, interdisant toute entrée dans la cité et restent opérationnels malgré l’embargo sensé les priver de carburant et de munitions. Il semble que ses défenseurs soient toujours approvisionnés.
Dans de telles conditions, le conflit semble parti pour s’enliser au détriment du soutien de l’opinion publique aux gouvernements des pays de la coalition.
Cependant, des informateurs locaux nous ont signalé la circulation nocturne de nombreux camions de transport depuis la frontière, au sud-ouest de Nur, jusqu’à Rasman. De quoi éveiller notre curiosité !
Nos hommes se voient donc envoyer, sans délai, dans la région de Nur, où ils devront rechercher ces véhicules avant qu’ils ne profitent de la nuit pour s’éclipser. Après identification de la cargaison, ils devront être mis hors d’état de nuire.


Participants :

300 :
Anthony (CdE) (Médic)
Crapaud
Docteur Snake
Perric
Loulou
Xifit

600 :
Fred (CdE)
Orphée (Médic)
Titouille
Le Redoutable
Iko



Déroulement :

Point LZ : les 3160 chevaux des deux turbines du Sikorsky semblent hennir à l’unisson alors que l’appareil se cabre en touchant le sol du Takistan. A travers la poussière levée par les pales qui, telles des sabres tournoyants, fendent encore l’air lourd et brûlant, le groupe d’hommes qui surgit n’est que silhouettes spectrales et fugaces. Glissant de part et d’autre de l’hélicoptère, elles semblent esquissées une chorégraphie martiale en dessinant un cercle parfait tout autour et s’immobilisent subitement, le canon de leurs armes pointés vers l’extérieur.

Puis le cercle se divise et c’est deux colonnes d’hommes qui filent dans le sable. L’équipe 300 se dirige vers le point 300/1 laissant l’autre moitié, l’équipe 600, se rendre vers le 600/1.
Alors que le 600 prend position dans un dédale de rochers surplombant l’ensemble de la vallée, le 300, en attente de progression, repère, arpentant le flanc juste sous ses yeux, une patrouille ennemie au point H1. Prévenu, le 600 ouvre alors le feu, semant panique et désolation à travers les rangs ennemis qui ne prennent fin que lorsque le 300 achève les derniers membres de la patrouille.

Une escouade tente de prendre les hommes du 600 à revers par le point H2. Mais leur vigilance rigoureuse déjoue cette tentative qui restera vaine.

Le chemin maintenant dégagé, le 300 entreprend sa descente vers l’objectif en passant par le point 300/2 où il se déploie en vue de l’objectif : un poste frontière où stationnent quelques camions de ravitaillement sous la protection impressionnante d’une pléthore de fantassins disséminés sur toute la zone.

Premier acteur de l’offensive concertée du groupe, le 600 lance un déluge de feu sur l’ensemble des cibles hostiles qui défendent l’objectif. Rapidement, l’Ural surmonté d’un ZU-23, au point H3, voit son tireur abattu ainsi que celui de l’UAZ qui se tenait à ses cotés au point H4. Les nombreuses unités d’infanterie qui siégeaient aux alentours, un moment désemparées par cette attaque brutale et soudaine, prennent tant bien que mal position pour faire face au 600. Le 300 lance alors son assaut et décime leur flanc droit dégarni. Mais le nombre est en faveur de l’ennemi et celui-ci inflige également des pertes conséquentes dans les rangs alliés. Seule la détermination farouche et l’avantage du terrain permettent aux deux équipes de préserver leur avantage tactique que le 300 concrétise en s’enfonçant sur le point 300/3 où ses hommes prennent appui sur les bâtiments du poste frontière.

Alors que les dernières détonations résonnent sur le champ de bataille jonché de cadavres, déjà dévale des sommets au nord, point H6, un contingent de fantassins bien décidés à déloger le 300 de sa position. Le 600 tente de mettre fin à la menace par un appui de tirs nourris que relaient ceux du 300 avec la même intensité.

L’échange à peine achevé, le 300 place ses charges sous les camions aux citernes pleines de carburant et s’échappe sans plus attendre en remontant vers le point 300/4 où il déclenche les charges qui, dans un véritable concert pyrotechnique, emportent dans d’étourdissantes explosions destructrices les véhicules piégés.

Encore une fois, le répit est de courte durée et c’est à nouveau des hauteurs que se profile la menace, point H7. Un autre groupe d’hostiles fond sur le 300 qui n’a que le temps de se réfugier derrière les rares abris naturels qu’offre le terrain à cet endroit. Le 600, épuisant ses dernières réserves de munition, riposte afin de ralentir cet assaut imprévu sur le 300. Ce dernier n’a guère le choix et, délaissant à regret ses positions à couvert mais cependant précaires, se fraie un passage vers le point 300/5 qui lui offre enfin un refuge salutaire.

Rechargeant prestement ses armes encore chaudes et alors qu’un nouveau groupe hostile se profile en H8, le 600 se voie l’objet d’une charge soudaine d’infanteries appuyées par un T55 au point H8 bis. Les échanges de coup de feu font rage et l’escarmouche prend fin avec l’explosion du blindé.

Barrant l’accès à l’hélicoptère, les ennemis en H8 sont la cible du 600. Délaissant leur »prise de guerre » que constitue le Blackhawk désespérément isolé, ils tentent de se rapprocher, confiant dans leur supériorité numérique. Mais le 300, ayant progressé furtivement vers eux, les prend à revers et annihile toute velléité adverse.

Il est temps pour les deux équipes « Choc et Feu » de se réunir au point LZ et de quitter sans délai le site qui commence à grouiller d’activité hostile repérée au nord depuis le point 600/2.

A peine le dernier homme du groupe embarqué, l’appareil ne se soulève guère du sol avant d’entreprendre une longue et périlleuse plongée dans la vallée contiguë lui permettant d’échapper de justesse aux unités aériennes qui convergent vers la LZ.

Rasman, maintenant privée de tout soutien logistique, sait que l’heure de l’affrontement final qui mènera à sa chute a sonné…

Baptman:
Tres bien Leto  ;)

Achille:
Vraiment Cool tes débrief Leto

madbull:
Toujours aussi classe.
Continuez comme ça, vous faîtes du beau jeu ;)

Navigation

[0] Index des messages

[#] Page suivante

[*] Page précédente

Utiliser la version classique