"On vient d'apprendre que le leader GAT, le dénommé Akram, qui a plongé la région de Kujari au Sahélistan dans la terreur, vient de franchir un seuil dans l'innommable en s'en prenant à une ONG internationale qui apportait de l'aide alimentaire et de l'eau potable dans cette région reculée et dépourvue de tout."
"Cette ONG effectuait un travail de cœur en aidant les populations, avec des soins pour les plus démunis, et de la nourriture afin de pallier aux conditions climatiques qui assèchent les récoltes. Un approvisionnement en eau, permettait également de prodiguer une aide vitale aux villageois."
"Malheureusement, la naïveté de ces humanitaires se heurta vite à la réalité d'un Sahélistan brutal et dépourvu de sentiment, envers des occidentaux venus contester leur vision obscurantiste. Le camp fut mis à sac, les matériels détruits, et la population locale rassemblée, contrainte d'écouter la harangue fanatique d'Akram, qui diffusait en direct au moyen d'une connexion satellite commerciale, son œuvre de mort."
"Un premier humanitaire, médecin urgentiste dans une grande métropole européenne, fut sauvagement mis à mort et décapité. Son assistante, infirmière bénévole, fut la suivante."
"Alertée par la diffusion de terribles images diffusées sur le Web, la Force française déployée dans un pays voisin, envoya rapidement un moyen ISR (Intel/Surv/Recce = drone) sur les lieux, afin de tenter de localiser les auteurs de cette barbarie. Les images transmises en direct à Paris au centre de permanence du COS, (Commandement des Opérations Spéciales) furent analysées avec attention par un groupe d'officiers chargés des planifications opérationnelles d'urgence. La réponse militaire de la France était en marche…"
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